Le Conseil présente la conférence d’un spécialiste international de l’assurance de la qualité

John Randall, qui est aujourd’hui conseiller international dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle, a prononcé une allocution le 25 mars à Toronto lors d’un événement organisé par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur.

« Pourquoi ne peuvent-ils pas nous laisser tranquilles ? »

On entend souvent ce refrain à propos des processus d’assurance de la qualité dans l’enseignement supérieur du monde entier, selon l’ancien directeur général de la Quality Assurance Agency for Higher Education du Royaume-Uni.

John Randall, qui est aujourd’hui conseiller international dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle, a prononcé une allocution le 25 mars à Toronto lors d’un événement organisé par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur. Devant une centaine de dirigeants du milieu de l’enseignement supérieur de l’Ontario, M. Randall a partagé avec son auditoire un peu de sa grande expérience dans le domaine de l’élaboration et de la gestion des systèmes d’assurance de la qualité dans l’enseignement postsecondaire.

En s’appuyant sur des exemples britanniques, chinois et d’autres pays, M. Randall a souligné qu’ « à l’échelle mondiale, les pays doivent montrer que leur système d’éducation repose sur des normes internationales. »

Selon M. Randall, la plupart des systèmes d’assurance de la qualité suit un processus évolutif. La majorité commence par mesurer les intrants, en particulier les ressources physiques et humaines des établissements. En général, suit l’évaluation des processus de l’enseignement et de l’apprentissage. Enfin, un système d’assurance de la qualité bien établi fera un pas de plus pour évaluer les résultats – les connaissances et les compétences qu’ont acquises les étudiantes et étudiants à la fin d’un cours ou d’un programme. Il faut ajouter que M. Randall estime très important de s’attacher aux résultats qui sont transférables au monde du travail.

Tout en faisant valoir que les systèmes d’assurance de la qualité doivent être conçus pour satisfaire à des normes internationales, M. Randall a reconnu que certaines différences entre les compétences s’imposent pour refléter les contextes dans lesquels se développent leurs établissements postsecondaires respectifs. Il a suggéré que l’Ontario peut tirer parti de l’expérience d’autres systèmes d’enseignement supérieur pour en arriver à établir son propre processus d’assurance de la qualité.

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